L’Oreille de Dauphine est une association culturelle d’étudiants de la faculté de Dauphine à Paris.
Chaque année, ces étudiants organisent plusieurs concerts et en donnent le bénéfice à une association.
La trésorière est Bérénice, sœur de Faustine, ancienne volontaire venue à Pondichéry, qui connaît bien le Volontariat et qui a un parrainage. L’an dernier, elle nous avait proposé comme bénéficiaire de ces concerts. C’est pourquoi le comité parisien a participé l’an dernier à tous leurs concerts, en faisant une intervention au micro et en tenant un stand d’information. L’an dernier, il n’y a pas eu de bénéfices.
Notre association a donc été proposée à nouveau cette année et a à nouveau participé aux concerts et …. La motivation et les bénéfices ont été magnifiques.
L’accent était mis autour de l’accueil et la scolarisation des enfants des rues ou en situation familiale difficile et le don de l’Oreille est fait pour SOURIYA. Faustine est venue à Pondichéry courant novembre et a fait, pour la photo, une remise symbolique de la photo du chèque avec les jeunes qui sont accueillis.
Un grand merci à Faustine qui ne nous oublie pas, à Bérénice et tout l’orchestre d’étudiants qui utilisent leur art pour venir en aide à des associations humanitaires et enfin aux personnes du comité de Paris qui, bien sûr, profitent des beaux concerts, mais qui sont souvent sollicitées pour le Volontariat.
Opération EPONGE
« 1…2…3… Allez-vous me suivre une nouvelle fois ? Je l’espère ET JE NE DOUTE PAS DE VOTRE FIDELITE Après l’opération « VELOS », puis l’opération « TAEKWONDO » [qui ont été des succès], je reviens de mon voyage en Inde avec une nouvelle requête pour les enfants de VOLONTARIAT.
Cette année nous allons leur acheter une SERVIETTE EPONGE double et un SAVON (Coût pour ce duo : 2 €) IL Y A 13OO ENFANTS !!! Alors nous allons redoubler d’efforts pour que cette action soit couronnée de succès. Parlez-en à vos amis, à votre famille, à tous ceux qui voudront rejoindre notre petit réseau « solidarité Inde ». Les dons devront porter la mention OPERATION EPONGE »
C’est ainsi que notre amie Monica, de la région lyonnaise, s’est adressée en 2011 à ses amis, sa famille et les amis du comité du Lyon. Et ça a encore une fois marché, l’opération Eponge vient de se terminer, une serviette éponge et un savon seront distribués à plus de 800 enfants de Volontariat à Pondichéry.
Merci à Monica et à vous tous (sa famille, ses amis, les marraines et les parrains) d’avoir répondu à son appel. Bravo de votre geste de solidarité vis à vis des enfants du Volontariat, ceux qui sont parrainés à Pondichéry et ceux qui sont à Souriya et Nila Illam.
14 décembre 2011
Les crèches et maternelle représentent la responsabilité principale de Madame Shanti qui s’implique beaucoup dans son travail et motive toute son équipe d’enseignantes et leurs assistantes. Même si nous pouvons être satisfaits de la formation actuelle de ces petits, nous devons être réceptifs à d’autres pratiques, surtout si elles ont fait leurs preuves ailleurs.
C’est le cas de la méthode Montessori et cela a été rendu possible par la présence, sur Pondichéry, et pour plusieurs années, d’une spécialiste de cette méthode. Vous saurez tout en allant consulter des sites spécialisés sur Internet, mais il est intéressant de noter que le nom de Montessori est particulièrement connu, pour des raisons historiques, en Inde et que cette méthode est appliquée aux quatre coins de ce pays. Elle permet, entre autres bienfaits, d’obtenir un éveil plus précoce et de responsabiliser, très jeunes, les enfants, qui prennent un degré d’autonomie, impossible avec un enseignement traditionnel, souvent proche de la méthode anglaise et qui n’a vraiment pas le but d’un auto-développement. De plus, les enfants qui ont suivi cette méthode peuvent ensuite s’insérer sans problèmes dans le cycle d’études normal.
Au Volontariat, l’expérience est faite avec des petits qui sont en âge d’être en maternelle et n’ont pas eu l’expérience d’un enseignement « classique ». Mais, pour éviter de faire avec eux de l’élitisme, il est organisé des contacts avec les autres petits, tout au long de la journée.
Une de nos enseignantes de maternelle a accepté de se former à ce type d’enseignement qui peut dérouter, à premier abord, car si loin de l’habituel « rabâchage » de l’enseignement classique, souvent axé sur la mémorisation du contenu à savoir.
Cette expérience doit se prolonger, avec le même groupe, sur les trois ans du cycle de crèche et maternelle, mais nous en attendons des « retombées » bénéfiques sur l’ensemble des crèches du Volontariat.
12 décembre 2011
Depuis le mois de juin, les élèves des classes de primaire et secondaire sont rentrés dans leurs écoles respectives et ils terminent actuellement leur premier trimestre.
Mais leurs études sont perturbées par un gros problème dont ils ne sont pas du tout responsables : beaucoup n’ont pas encore reçu leurs livres scolaires. Pour quelle raison ?
Les élections régionales ont eu lieu au mois de mai et le Tamil Nadu a changé de majorité et donc de gouvernement. Or le précédent Chief Minister (CM), au pouvoir depuis quatre ans, avait fait rajouter, dans la plupart des livres scolaires, quelques pages et passages où il vantait sa politique durant la législature écoulée. Bien évidemment la nouvelle CM, responsable du gouvernement régional, ne pouvait pas accepter de distribuer ou laisser acheter des livres qui vantaient les mérites de son adversaire et donc a décidé de commander une nouvelle série de livres, expurgés de ces passages litigieux.
Or le coût de l’édition de ces livres s’élève à environ Rs 200 crores, soit Rs 400 crores si on compte le coût cumulé de l’ancienne et de la nouvelle édition (environ 70 millions d’euros). Avec en plus un délai de plusieurs mois pour imprimer les dizaines, sinon centaines, de millions de livres nécessaires aux enfants du Tamil Nadu dont la population est équivalente à celle de la France.
Quelques esprits raisonnables ont porté l’affaire en justice ; la Cour Suprême a ordonné l’arrêt de la nouvelle édition et l’opération de masquage des passages en question, sur chaque livre concerné !
Aujourd’hui, en fin de trimestre, beaucoup d’écoles publiques et privées conventionnées ont enfin reçu tout ou partie des livres, tandis que certaines et, notamment, des écoles privées non conventionnées n’ont pas encore été servies. Des sujets ont été photocopiés, le Volontariat l’a fait, pour aider les élèves. Des parents ont payé pour imprimer des livres publiés sur internet. Dans les écoles, plusieurs élèves se partagent les même livres…. La débrouille !
Ceux qui pâtissent de cette situation de basse politique sont les jeunes du Tamil Nadu et Pondichéry qui travaillent dans de mauvaises conditions et qui risquent de perdre une année pour un problème qui ne les concernent pas !
9 septembre 2011
Examen du 10ème Std ou S.S.L.C. (Secondary School Leaving Certificate)
Ils étaient 78, filles et garçons, parrainés par le Volontariat, à essayer de franchir la barrière du S.S.L.C. ; 69 ont été reçus, soit un pourcentage de près de 90%. A titre comparatif, la moyenne sur l’Etat du Tamilnadu s’établit à 85%, ce qui est satisfaisant pour l’équipe du Parrainage et nos professeurs des cours de soutien
.
Les 5 premiers au classement, je devrais dire les 5 premières puisqu’il y a 4 filles, ont obtenu, sur 500 points maximum : B850 (F), 478 ; F1638 (M), 464 ; F603 (F), 436 ; F3176 (F), 431 et F1419 (F), 429 points. Les 2 derniers sont F1315 (M), 210 et B2588 (M), 206. Comme vous le voyez, les jurys repêchent très bas, mais pour cela, aucune matière ne doit avoir de note inférieure à 35/100 qui est éliminatoire ; ainsi, parmi les recalés, FLV022 (F) a obtenu 238 points, mais sans aucun doute avec, au moins,une note éliminatoire.
Tous les recalés pourront repasser les matières concernées dans un laps de temps court ou, pour certains, les ont déjà repassées aujourd’hui et nous aurons bientôt les résultats .
Examen de fin de 12ème Std ou H.S.C. (Higher Secondary Certificate)
Ils étaient 54 étudiant(e)s, soutenus par le programme de Parrainage, à se présenter à cet examen. 44 d’entre eux, soit 81%, ont passé du premier coup, 10 ont raté et devront repasser tout ou partie des matières …. ou chercher du travail.
Ici nous devons reconnaître que la moyenne est légèrement inférieure à celle du Tamilnadu qui s’établit à 86% ; un bon environnement compte pour beaucoup dans le sérieux des études et il est certain que nos jeunes ne le trouvent que rarement au sein de leur famille, leur milieu ou leur voisinage, c’est pourquoi un projet (rêve) du Volontariat est d’avoir un lieu où les étudiants pourraient travailler dans le calme et préparer plus efficacement leurs examens.
Parmi les 5 meilleurs classés, ici encore, on trouve 4 jeunes filles. Sur 1200 points au maximum, se classent dans l’ordre : B1742 (F), 972 ; F1341 (F), 959 ; F1423 (F), 934 ; F1639 (F), 923 et B3938 (M), 906 points. Les deux derniers à passer sont : F3156 (F), 531 et B1736 (M), 524 points, largement repêchés, car loin de la moyenne de 600 /1200. Il est intéressant de noter que les 10 jeunes ayant été recalés se situent dans la fourchette 569 à 650 / 1200, soit avec des notes globales supérieures à celles des derniers reçus et même parfois supérieures à la moyenne, mais ayant une ou plusieurs matières avec note éliminatoire.
Ces matières devant être repassées dans un temps allant de un à six mois, certains attendent déjà les résultats du rattrapage.
Pour ceux qui ont passé, maintenant est l’inscription dans la formation professionnelle qu’ils ont choisie ou qui leur est accessible en fonction des places disponibles et de leur classement. Ils sont conseillé depuis des mois, sinon des années, par l’équipe de travailleurs sociaux du Parrainage.
Bonne chance à eux qui préparent leur avenir.
12 août 2011
La délégation du Volontariat, représentant l’Inde, comprenait 9 personnes, 7 jeunes et 2 accompagnateurs. Nous étions invités par la Voix de l’Enfant à participer à la Fraternity Cup 2011, du 16 au 27 juillet, pour manifester notre support à cette Fédération dans sa lutte pour les droits des enfants. Il y a eu 112 jeunes, plus leurs éducateurs, venant de 12 pays différents (y compris de France, pays organisateur), rassemblés à Paris pour vivre 10 jours d’activités éducatives, culturelles et de loisirs, autour du Tournoi de football.
Nous avons été chaudement accueillis par toute l’équipe de la Voix de l’Enfant, avec ses Directeurs présents et précédent et le Coordinateur de l’évènement qui ont été aux petits soins pour chacun des délégations et chaque jour de notre séjour.
Notre équipe a réalisé une expérience très forte avec les autres participants du monde, nous avons beaucoup échangé, notamment avec les équipes du Japon, de la Bosnie et de l’Afrique du sud, cette dernière entraînée par un sud-africain d’origine indienne, et partagé cultures, langues, etc. Comme la plupart parlait anglais, la communication en a été facilitée.
Nos jeunes ont participé à des compétitions de musique (et danses) et de dessin qui se passaient le matin. Les après-midis étaient occupées aux matchs de football. Les 14 équipes étaient divisées en 2 groupes : l’Inde était dans le 1er groupe qui comprenait aussi le futur vainqueur, l’Argentine. Nous avons joué les 6 matchs de notre groupe (gagnés 2, nul 1, perdus 3). A la fin nous avons été classés 3ème de notre groupe, seuls les 2 premiers des groupes étaient qualifiés pour la suite. C’était la première fois que notre équipe jouait un tournoi important et n’avait pu s’entraîner que ces 3 derniers mois, néanmoins ils ont bien joué et le résultat est logique. Il était bien aussi que nous ayions fait des échanges de joueurs avec l’Afrique du sud pour quelques matchs. Si on compare avec l’équipe de l’Argentine dont les joueurs jouent dans des clubs depuis l’âge de 5 ans, on peut comprendre que notre équipe n’était pas à leur niveau ! Mais contre les autres équipes, les matchs étaient plus équilibrés.
Après la finale, pour laquelle les Présidentes des comités de Paris et Marseille, ainsi de 2 familles de parrains, étaient présentes, des trophées et des médailles ont été remis à chaque équipe, à la grande joie de nos jeunes.
Nous avons aussi pu visiter Paris, capitale de la France : on nous a amenés sur les plus grandes rues et places (Champs Elysées, La Madeleine, …) ainsi qu’à la Mairie de Paris, le Musée du Louvre et le Planétarium. La Présidente du comité parisien nous a promenés aussi à la Tour Eiffel, Montmartre et sur la Seine [bateaux mouches] et elle nous a expliqué chaque chose que nous voyions. Nous avons pris le Métro pour aller en différents endroits et pour faire des achats. Les jeunes étaient ravis d’aller en Métro.
C’était la première fois que nous, les jeunes et leurs accompagnateurs, avions l’occasion de voyager en avion. Nous avons été enchantés et personne n’a dormi pendant le vol ! Nous avons tous pu nous adapter au changement de nourriture, aussi bien dans l’avion que pendant notre séjour à Paris.
Enfin, il faut redire que tout avait été très bien organisé par la Voix de l’Enfant, pour toutes les délégations et la Fraternity Cup a été un grand succès. Nous remercions tout le monde et chacun, de nous avoir donné la chance d’ouvrir nos esprits et nos yeux à d’autres personnes, d’autres cultures, d’autres langues, etc.
Ganesh, adulte accompagnateur
4 août 2011
Le rassemblement, organisé par la Voix de l’Enfant (VDE), de près de 100 enfants et leurs accompagnateurs, à Paris, est imminent.
Autour de matches de footbal mixtes (garçons et filles de 11 à 13 ans), la Fraternity cup doit être une occasion unique de découverte, d’échanges culturels et de convialité pour tous ces jeunes qui ne sont jamais sortis de leur pays, voire de leur région, y compris, sans doute, ceux de l’équipe de Guyane française !
A Pondy, tous se préparent fiévreusement à vivre ce temps exceptionnel qui sera court, du 16 au 27 juillet pour les nôtres, mais sûrement intense tant l’engagement de toute l’équipe de la VDE est fort pour que ce soit un succès.
Les enfants s’entraînent au foot (après la classe puisque l’année scolaire a repris en juin), notre équipe aura une gardienne des buts, ainsi qu’à la danse et aux autres activités auxquelles ils participeront.
Tous prennent des leçons régulières pour améliorer leur anglais parlé et, y compris les accompagnateurs, pour acquérir quelques rudiments en français qui leur seront nécessaires durant cette période de partage : bonjour, comment tu t’appelles ? Je m’appelle….., comment allez vous ?, etc.
Enfin, passeports et visas obtenus, parfois avec difficulté, billets d’avion achetés, les dernières recommandations, et non des moindres, concernent le voyage : vêtements à choisir, tenues pour les filles, comportement dans l’avion qu’ils découvriront tous : utilisation des toilettes par exemple, comportement dans leur hotel parisien, manière de se présenter aux jeunes des autres équipes ainsi qu’aux adultes. Toutes sortes de détails (comme la façon différente en tamoul et en français de dire :oui !) qui vont conditionner leur séjour.
On se croirait parfois au moment du compte à rebours d’une aventure spatiale !
14 juillet 2011
Depuis de nombreuses années, Volontariat organise des « summer camps » ou colonies de vacances pour les enfants du parrainage.
Cette année, des centaines enfants, choisis dans la tranche d’âge de 10 à 16 ans, sont partis du brouhaha de la ville, à la rencontre d’une vie proche de la nature, tout en participant à de nombreuses activités.
Cinq centres, proches de Pondichéry [pour réduire les dépenses de logistique], plus la ferme de TTK, avaient été sélectionnés pour le calme et la sérénité de leur environnement.
Les équipes de Volontariat se sont investies pendant plusieurs semaines pour préparer et élaborer les activités qui ont été très variées : récréatives et instructives, des plus élémentaires aux plus complexes, selon les groupes d’âge. Aussi on peut affirmer que les camps de cette année ont été particulièrement réussis.
Certains thèmes ont fait l’objet de débats/questions : l’hygiène corporelle ; les divers aspects de la sexualité, y compris les maladies sexuellement transmissibles comme le sida ; détection et soins du cancer du sein et de l’utérus, etc, tous sujets jamais abordés en famille et souvent tabous.
Les ados ont pu parler ouvertement de leurs problèmes, en petits groupes, et parfois trouver des réponses aux nombreuses questions qu’ils se posaient.
Quant aux enfants, ils ont participé à des activités ludiques et artistiques : fabrication de jouets, cartes de voeux et bracelets, décoration à la peinture de pots de fleurs, ou encore comment devenir de vrais entrepreneurs en cultivant des champignons, travail facile, rentable et qui demande peu d’investissement.
Et TOUS, garçons et filles, ont appris à coudre des boutons et à faire des ourlets !
La classe de natation, organisée à l’Hôtel Mango Hill, a rapporté un grand succès et promet de futurs grands nageurs !
Les visites aux marais salants, sur la East Coast road, en direction de Madras, et la récolte du sel en a étonné plus d’un. Certains croyaient peut-être que le sel poussait dans les arbres !
Cependant, un trop grand nombre d’enfants n’a pas participé aux camps de vacances, un « service » pourtant essentiel du Volontariat aux enfants qu’il parraine, car c’est un temps privilégié pour insister sur des thèmes éducatifs indispensables au développement harmonieux de l’enfant et de l’ado et qui ne sont pas abordés dans les familles.
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir insisté durant toute l’année auprès des parents sur l’importance de ce temps collectif. Pour les enfants qui n’ont pas participé aux camps de vacances et dont les parents ne peuvent justifier de raisons valables, Volontariat a décidé de se montrer sévère, en essayant toutefois de ne pas pénaliser l’enfant.
Maintenant l’heure n’est plus aux vacances d’été, tous les enfants ont repris le chemin de leurs écoles dès la première semaine de juin.
8 juin 2011
Pour la deuxième année consécutive, la Voix de l’Enfant organise des rencontres fraternelles entre des enfants et leurs accompagnateurs, éducateurs sociaux, d’une vingtaine de délégations en provenance de France et de plusieurs pays du monde entier, autour d’un tournoi de football et d’une initiation au rugby qui, comme chacun sait, forme l’esprit collectif.
Mixité de cultures, de langues, mixité aussi dans la composition des délégations : il devrait y avoir à peu près autant de garçons que de filles, tous âgés de 11 à 13 ans.
Cette manifestation qui avait été un succès en 2010, se passera à Paris entre le 17 et le 26 juillet de cette année.
Le Volontariat est invité à y participer et 7 jeunes du groupe du Parrainage viendront avec 2 accompagnateurs. Les comités intéressés peuvent s’adresser au service de Parrainage à Pondichéry pour plus de précision sur les enfants choisis puisque nous avons l’habitude de ne mentionner aucun nom, d’enfant surtout.
Pour des informations sur le déroulement de ces rencontres, le calendrier prévu, adressez vous par email à Guillaume à l’adresse : reseauVDE@lavoixdelenfant.org
Autour de ce tournoi sportif il est prévu plusieurs types d’activités :
[-] des ateliers : photos, dessin, chant, danse, théatre
[-] des rencontres de partage d’expériences éducatives et de « bonnes pratiques »
[-] Chaque délégation doit avoir préparé, avant sa venue à Paris, un travail éducatif, sous la forme d’un petit journal, dans sa langue locale, avec traduction en français ou/et en
anglais.
Il faut tous souhaiter que le voyage, les rencontres, le tournoi sportif soient un plein succès et permettent à tous les enfants et leurs accompagnateurs une plus grande ouverture d’esprit vers l’Autre, différent.
8 juin 2011
Ce 17 février 2011, tous les ouvriers de l’Atelier Shanti et des accompagnateurs sont partis pour une grande journée de détente, annuelle. L’objectif était la découverte du nouveau Temple d’Or de Vellore (Tamilnadu) et de ses jardins, mais plus encore la possibilité d’être ensemble pour autre chose que le travail !
Un article leur est consacré dans le Journal du Volontariat du 1er trimestre 2011, voici quelques photos.
21 février 2011
Article du Journal “ La Dépèche du Midi “
28 janvier 2011
Pongal est certainement la plus grande fête du sud de l’Inde, elle représente le renouveau après la longue période de mousson qui assombrit l’atmosphère, mais dont les pluies bienfaisantes font pousser le riz [cette année, abondantes et tardives, les pluies avaient aussi couché une partie des champs de « paddy* » !]. Pongal marque traditionnellement le début des moissons.
Le Volontariat a célébré cette fête à sa ferme de Touttipakkam avec la participation des enfants des programmes Nila Illam et Souriya, du moins ceux qui n’étaient pas rentrés dans leurs familles pendant les quatre jours de congé officiels, et en présence de nombreux invités : parrains/marraines venus rencontrer leurs filleuls ou touristes de passage visitant nos activités.
A cette occasion, deux grands pots neufs avaient été achetés dans lesquels le riz nouveau, venant d’être récolté, doit être cuit.
Après une « puja » à l’Etre universel où pouvaient se retrouver les hindous aussi bien que les chrétiens ou les athées, les pots ont commencé de déborder, ce qui est le signal des réjouissances : on danse et on chante autour des pots, pour le grand plaisir de tous. Enfin un peu de ce riz cuit est donné à chaque participant, comme un signe faste pour l’année qui commence.
* Inutile de vous rappeler que le paddy est le riz sur pied.
25 janvier 2011